Les Cahiers de l'implication

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comment présenter un article au format revue - utiliser les ficelles de votre traitement de texte

fiche technique

Opérations à effectuer sous word

en réception d’article

1. Structure générale

 On comparera ici les structures des 2 premiers numéros de la revue

 Le nombre de page initial maximum de la revue était fixé à 150 pages. Avec le n°2, l’expérience nous montre qu’on a pu monter jusqu'à 174.

On le voit ici, la rubrique [Et puis aussi] a été sujette à modifications pour le n°2, avec notamment l’adjonction de [sommaires de revues] et [table des illustrations]. Les places des différents éléments de [Et puis aussi] ont également été modifiées entre le premier et le second numéro, mais il serait bon de garder l’ours en toute dernière page (paire)

évidence à rappeler

Les présentations de dossiers (titres : ex n°1: [En jeux]), les articles, les rubriques, commencent sur une page de droite, soit une page impaire. Il est donc parfois nécessaire de laisser des pages blanches à gauche, en fin d’article notamment. D’où un nombre de pages supplémentaire à prendre en compte dans le comptage, même approximatif.

Taille des pages / marges

155 x 230 mm

int : 25 mm

ext : 20 mm

haut : 20 mm

bas : 20 mm

correspondance taille des pages sous word et format revue (de A4 à 23x15,5cm)

Après mise en page sous word, format A4, c’est à dire en Times new Roman corps 10 pour le texte, 14 pour les titres, interligne simple, marges = 20 mm partout, paragraphes formatés etc etc...

page de titre : 1 page word égale environ 4500 caractères    /     format revue = 2300 caractères

page de texte : 1 page word égale environ 5000 caractères     /     format revue = 2800 caractères

Donc, une page sous word équivaut à environ 1,86 page dans le format revue.

2. Mise en page, styles de caractères

Tout texte :                 Police de caractère : Times new Roman / interligne simple

Texte / articles

pages [notes et impression de lecture]

même présentation que pour le texte, mais :

- présentation de l’ouvrage : 10 gras, justifié, avec retrait positif de 1^ère ligne=10 mm : c’est exactement:

[NOM (prénom), Titre, sous-titre, Éditeur, Ville, année (nbr pages, prix).]

- distance au texte : au dessus : 2 li. 10 nor / en dessous : 0 li

- signature : 10 normal, [prénom NOM]

   distance au texte : dessus : 1 li. 10 nor

            dessous : 2 li. 10 nor

- Remarques :- les notes sont présentées par ordre alphabétique des auteurs des ouvrages commentés

- les signatures apparaissent complètes, MAIS : pour les rédacteurs qui rédigent plusieurs notes, la signature se réduit aux initiales à partir de la deuxième note.

- pour le n°2, l’ordre alphabétique des auteurs des ouvrages commentés n’a pas été totalement respecté, comte tenu de l’adjonction d’une note inclassable [Jack Goody] dans les notes de lecture traitant d’un seul ouvrage, et compte tenu aussi de la double page nécessitée par [Mystik ruelle]. Ce qui prouve bien que la règle peut être transgressée.

                  - certains auteurs peuvent munir leur notes de notes de bas de page : à gérer.

pages de présentation de dossiers (ex, n°2 : [restitution / surrestitution])

36 normal / justifié / distance à la marge du dessus : 4 lignes, en 36 normal

Remarque : pour le n°2, vu l’épaisseur de [Et puis aussi], un sommaire de cette rubrique a été rajouté sur la page de présentation, avec les numéros de pages correspondants

page [Les auteurs]

[Prénom NOM, titre]

10 normal ou gras, justifié, interlignes paragraphe supérieur et inférieur à gérer selon le nbr d’auteurs

pages [le prochain numéro], [sommaires de revue], [tables des illustrations], [abonnement], [ours]

une seule page, avec des gras, des centrés, des interlignes aléatoires, au bidouillage.

3. Opérations

ces opérations peuvent être effectuées dans l’ordre décrit ci-dessus, pour tous les fichiers. Mais pas obligatoirement.

ne placer qu’un seul texte par fichier.

tabulations

certains auteurs placent les alinéas en utilisant la touche de tabulation [Iè]. Pour la revue, les alinéas sont gérés par la commande [retrait positif de 1^ère ligne], in [Format] [Paragraphe]. Il faut donc supprimer toutes les tabulations en début de paragraphe, une à une.

espaces entre paragraphes

certains auteurs placent un grand nombre de lignes entre les paragraphes. A gérer, en fonction des critères choix de l’auteur, présentation générale de la revue, style de l’article (aéré, lent...). Pour le second n°, le choix récurrent a été de respecter les espaces placés par l’auteur entre les paragraphes, avec cette nuance qu’ils étaient alors limités à une seule ligne, en général.

styles

rentrer les styles correspondants aux différents formats (texte, titre, signature...) dans [format], [styles], avec les commandes [nouveau] et [format], [caractères], [paragraphes] etc... Ensuite, les rappeler pour chaque fichier avec la commande [organiser], [ajouter] et les appliquer. Il me semble que c’est à peu près comme ça. La configuration des touches de raccourci est un luxe, mais un luxe appréciable quand on a un certain nbr d’articles à traiter.

corrections 

- lancer le correcteur orthographique. Le correcteur grammatical est inutile.

- corriger dès que possible les erreurs, sur fichier - la lecture/correction doit être systématique dès le début

composition automatique (in [format]) :

lancer cette fenêtre, et réviser toutes les modifications proposées. Le but de cette action est de convertir un tas de trucs, notamment les espaces avant une marque de ponctuation différente du point ou de la virgule. (1 espace insécable entre la dernière lettre du mot et le signe de ponctuation ex : [bonjour :].

Attention : la composition automatique supprime les marques de paragraphes supplémentaires, c’est pour cela qu’il faut réviser les modifications, et en rejeter certaines.

boite de dialogue [rechercher / remplacer] in [Edition] (Ctrl+H) :

avec cette boite, vérifier les guillemets, apostrophes, et espaces superflus :

espaces inter-mots superflus

- taper, dans la ligne [rechercher], deux espaces

- taper, dans la ligne [remplacer], un espace

- lancer la recherche, et remplacer, si besoin

Remarque : on peut procéder de même avec trois et même quatre espaces tapés dans la ligne [rechercher].

Apostrophes et guillemets 

apostrophes : selon les logiciels et format utilisés par les auteurs, les apostrophes peuvent apparaître sous différentes formes (ex : [']), alors que l’apostrophe retenue pour la revue est [’]. Cette commande permet de les uniformiser automatiquement.

guillemets : même si le logiciel de mise en page convertit les guillemets français [« »] en [“ ”], mettre tous les guillemets en guillemets français, sous word (la commande [remplacer " par «] doit être activée dans [Outils], [Options], [compo. autom]

- sélectionner une apostrophe ou guillemet (attention, droite et gauche) dans le texte de l’auteur, la copier (ctrl+C), et la coller dans la ligne [rechercher] (ctrl+V)

- taper dans la ligne [remplacer], une apostrophe ou guillemet (attention, les guillemets de début et de fin son reliés au texte par un espace insécable, le rentrer(ctrl+maj+espace) avant ou après le guillemet

- lancer la recherche, remplacer si nécessaire

Remarques : - procéder en deux étapes pour les guillemets de début et de fin

                    - certaines apostrophes sont parfois inversées ([‘] au lieu de [’]). Utiliser cette commande pour les vérifier,

en procédant de même, en copiant et collant une apostrophe inversée [‘] dans la ligne [rechercher], et taper une apostrophe dans la ligne [remplacer].

BONUS : Vérification des notes de bas de pages

les notes de bas de pages sont converties automatiquement en note de fin de document lors du passage sous Pagemaker. On peut les conserver en notes de bas de pages sous word.

Mais vérifier : la taille des appels (dans le texte), et la taille des renvois (n° dans les notes). Remarque : cette partie de texte est alignée à gauche, sans retrait.

Il est parfois nécessaire de reprendre toutes les notes de bas de page, une par une, et de les copier-coller afin que word les assimile correctement en appels et/ou renvois. Et c’est très chiant, d’autant qu’il ne faut pas se gourer.

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